Animal Collective est un de ces groupes qui regorgent de talent.
Se ressourcer? Connaissent pas.
À raison d’à peu près un album par année, le dernier étant l’excellent Strawberry Jam à l’automne 2007, ils enfilent les petits chefs-d’œuvre sans se poser de questions commerciales.
Leur 9e en neuf ans constitue pourtant l’album le plus attendu du mois, avec ce Springsteen d’un tout autre registre .
Des racines rock expérimental qui ont vu naître le groupe new-yorkais, voici un recueil solaire qui a le cœur sur la main, et qui vogue entre la pop hypnotique, le dub, les mélodies velcro et les arrangements électro-psychédéliques.
Un gros tourbillon lucide qui marque déjà l’année 2009.
L’instant critique, c’est 4 lignes sur un groupe pour dire qu’ils sortent un album par an et qu’ils ne se posent pas de « questions commerciales »* ? Couplé à un allusion à Springsteen carrément hors-sujet.
Eu… oué…
*à définir
« Des racines rock expérimental qui ont vu naître le groupe
new-yorkais, voici un recueil solaire qui a le cœur sur la main, et qui
vogue entre la pop hypnotique, le dub, les mélodies velcro et les
arrangements électro-psychédéliques.
Un gros tourbillon lucide qui marque déjà l’année 2009. »
Je crois que tu as oublié de lire la suite
Que de buzz pour ce truc… encore un groupe qui fait plaisir aux critiques en leur permettant de citer 36000 références et soit-disant « courants », alors qu’en fait, un tel gloubi-boulga est loin d’être digeste
Surtout qu’il faut savoir qu’Animal Collective n’apprécie pas vraiment le rock, leur inspiration vient de la musique classique, plus précisement des ballets si je ne me trompe.