Article re-publié parce que Gonzague arrête pas de faire joujou avec les bases de données et pète tout ce qui lui tombe sous la main. Merci l’ami !
Hormis dire que ce morceau est un véritable bijou, je ne vois pas quoi ajouter de plus. Mélancolie suave, sensualité, et une pointe de tristesse. Une balade jazz amoureuse de sept minutes, lente et enivrante. Un piège à coeurs. Les seuls conseils que je puisse vous donner sont « Fermez les yeux, montez le son, pensez à une fille, inspirez un grand coup, et appuyez sur Play« .
ma-gni-fique quentin !
Merci de l’avoir reposté et désolé pour les soucis de serveur, comme tu auras constaté ça remarche bieng now
Superbe morceau, merci !
Magnifique !