The Whitest Boy Alive – Fireworks

Si je dis … ça fait longtemps que je n’avais pas aimé un groupe comme ça .. c’est en fait que ça fait longtemps que je ne m’étais pas repenché sur Erlend Oye, chanteur que l’on retrouve dans Royksöpp et dans Kings of Convenience.

Deux groupes que j’adore, au bas mot 🙂

Alors voilà qu’on me fait écouter du « The Whitest Boy Alive » . Pfiou, joie , engouement pour le morceau Burning que je chantonne à tue tête ( pauvres voisins ) mais aussi pour la dynamique de Fireworks :

[audio:http://freenull.net/~soundnation/t/The_Whitest_Boy_Alive-Fireworks.mp3]

Les paroles dans la suite.

You keep your cards so close to your chest
You’re making me confused

It’s hidden deep what you need to address
If you want it to resume

Aching and longing never ending fireworks
Let it be, let it be, let it be oh baby let it hurt

The heat is on for the action to speed up and tension to ease
We could keep talking but only be certain through physical means

Patience is just another word for getting old
Resolution just as impossible as letting go

Is there a hint of a vulnerable you there a drift in your eyes
Could it be that the sharp and the blunt side have shifted this time

I wanted you, you wanted me but he was there
Now let it be, let it be, let it be oh baby let it bare

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Fondateur de feu SoundNation.fr, Gonzague est un peu ancré dans les années 80 (merci les parents). Inconditionnel de Roÿksopp.. il écoute en fait un peu de tout sauf Stéphanie de Monaco

5 comments

  1. pim says:

    Nice !!! \o/
    J’ai fait un tour sur leur myspace/thewhitestboyalive et j’ai trouvé FIREWORKS pas mal non plus, merci pour la découverte.

  2. pim says:

    erf hmm ok, j’avais même pas vu que les 2 morceaux étaient présentés, je crois que j’ai besoin de nouvelles paires de lunette alalala lol

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