Les Black Angels. Découverte et coup de coeur de la fin 2010. Une seule envie : les voir sur scène en espérant pouvoir extérioriser tous les sentiments et impressions que leur musique peut transmettre.

Les Beach Boys retentissent avec « Wouldn’t it be nice« , mettant le feu à la salle, et les Black Angels font leur entrée sur scène timidement. Alex, Stephanie, Christian, Kyle et Nate qui composent le groupe, prennent leur place respectives à la lumière d’une lampe de poche. En guise de scénographie, une toile de fond est dressée, reprenant la jaquette de l’album. Les motifs abstraits et psychédéliques à la Vasarely permettent, accompagnés de jeux de lumière, de plonger les spectateurs dans un nouvel univers à chaque chanson.

Mais malheureusement malgré l’engouement de ce dernier, l’ambiance ne décolle jamais vraiment, laissant le spectateur sur sa faim. Il manque indéniablement un échange entre le groupe et son public, et une réelle adaptation de l’album pour la scène.
L’impression finale reste donc mitigée, comme la sensation d’avoir écouté l’album avec un très bon son, mais sans vraiment avoir été au concert…
Texte : Lauren L.

