On a plus aucun doute sur l’implication de Tarantino dans la bande originale de ses films et sa passion pour le cinéma des années 1960 et sa trame sonore; l’easy listening.
Dans Inglorious Basterds il en remet une couche pour ponctuer l’humour noir et le ton sarcastique. Ce second degré manifeste est pertinent et amusant pour tout cinéphile qui ne prend pas au sérieux les frasques de Tarantino ou l’insipidité de Brad Pitt quand on se plaît à casser du sucre sur le dos des nazis.
Outre Morricone, il déterre d’autres compositeurs italiens du même genre et de la même époque qu’il connecte en intermèdes avec de la chansonnette allemande des années 1930 et quelques hors-d’oeuvre pas si incongrus, dont Bowie et Billy Preston.
Ça n’offre pas le potentiel commercial de Pulp Fiction, mais c’est fidèle à la passion de Tarantino de faire connaître ses idoles.
un extrait un extrait
Voila 😉
Puis les musiques, en plus d’êtres excellentes, sont complétement décalées de leur contexte. On ne peut pas faire autrement que de se focaliser dessus et les scènes prenne un tout autre aspect. J’trouve ça aussi simple que fabuleux.