Fnac Live 2013 entre 4 yeux

Fnac Live 2013 entre 4 yeux

Quatre jours intenses de festival, c’était un peu rude pour nous… surtout le FNAC Live, alors on s’est partagé la tâche, un jour sur deux. Cet article comprends donc 4 pieds, 4 bras, deux nez et se passe surtout entre 4 yeux. Musique !

Jour #1

Ca y est c’est parti pour l’édition 2013. La journée a été longue, on arrive tout juste pour le début du set de Palma Violets, véritable groupe de scène qui réveillera le public avec sa fougue et son énergie. Ils sont suivi par Miles Kane, le dandy anglais avec son costume extravagant, électrise la foule parisienne avec classe. Autre ambiance avec le grand Oxmo et ses musiciens qui entrent en scène. Les mots et les rimes dansent en rythme sur des influences jazz, hip-hop et funk. Peut-on parler « d’oxmose » avec le public ?
On regrette d’avoir loupé Villagers mais on se rattrapera demain !

 

Jour #2

On attaque la journée avec les rythmes tropicaux de la Yegros, ça tombe bien le soleil est de la partie. Le set tombe donc à point nommé !
Vient ensuite Melissa Laveaux, dont on ne pense que du bien à ZikNation. On ne l’avait pas encore vue sur scène, mais on ne sera pas déçu, tout comme Raphaël Gualazzi qui enchainera avec son piano jazzy.
Mais bon on est vendredi et le public commencera à arriver réellement en masse pour le set d’un Kezia Jones visiblement en forme !
La soirée se finit en mode club electro avec Breakbot et Agoria. La place de la mairie est noire de monde, il est difficile de se faufiler dans la foule et un peu partout aux alentours des gens danse… mission plus qu’accomplie donc !

 

Jour #3

Samedi. La journée commence plus tôt sous un soleil accablant mais on apprécie la fraicheur du groupe Saint Michel, dont l’album se fait attendre. Isaac Delusion apporte une touche de douceur et de légèreté avec la voix envolée de Loïc. Au tour ensuite de la fantasque et surprenante Christine & The Queens chez qui on peut sentir une influence très « jacksonienne ». On aimait déjà avant de la voir, on aime encore plus maintenant ! Concrete Knives faisaient parti des chouchous pour beaucoup de media présents avec un très bon 1er album. Cela se vérifie sur scène avec un set plein d’énergie. C’est Lilly Wood & The Prick qui clôture la soirée, avec la manière : set survolté et hola géante du public à la fin. On en veut encore ! Ils en ont fait du chemin depuis le 1er anniversaire de Ziknation (oui oui on est fier !)

 

Jour #4

Déjà le dernier jour de festival et on retrouve Superpoze et ses machines en set d’ouverture. Le kid rappel un peu les premiers Bonobos en version sous amphet, et ça marche carrément bien ! Mais le dimanche était définitivement la journée des prestations énergiques. Winston McAnuff sautera dans tous les sens en remuant ses dread sur le son d’accordéon de Fixi. Le mélange peut paraitre improbable, mais le résultat est bluffant de cohérence !
Pas question de se poser après nos titis-rastas, puisque voilà Féfé bien décidé à se faire plaisir ! Le sourire ne le quittera pas de tout le set et je peux dire qu’il en était de même dans le public.
Mais au final tout ceci était relativement calme avant l’arrivée sur scène de l’excité de service, Cali, qui mettra un bordel monstre comme la place de l’hôtel de ville n’en a probablement jamais connue. C’est avec 5L de transpiration en moins et un public conquis qu’il quittera la scène.
On finira la soirée en calmant un peu le rythme (il fallait bien travailler le lendemain), ce sera donc Sophie Hunger et Jacques Higelin qui clôtureront le festival avec un peu plus de calme, mais non sans intensité !

Graphic & Web designer, amateur de dessin, de photos et de musique. Baladeur numérique sur pattes, blogueur...parfois. e-Picurien ;-)

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