La mode est aux supers groupes, ok…mais pourquoi ne pas faire le contraire et s’intéresser à un artiste solo : Julian Plenti. Et voici trois raisons d’aller le voir à l’Alhambra ce dimanche.
1) Derrière Julian Plenti se cache en réalité Paul Banks, le chanteur d’Interpol, pseudonyme choisi il y a maintenant des années. Cette deuxième identité lui a permis de composer ses propres morceaux et ainsi s’affranchir du poids trop lourd de son groupe à l’identité bien marquée.
2) Ici, point de new/cold wave donc. Dans ce premier album – Julian Plenti is…skyscraper – guitare, trompette mais aussi violon et piano sont à l’honneur. Les sonorités choisies, fortement influencées par son enfance passée à voyager (entre autres dans les pays hispanophones), nous embarquent dans un univers mélancolique, mélodique, plus intime et au final assez chaleureux.
3) En réalité il y a bien 11 raisons d’aller voir Julian Plenti en concert. Car l’album n’est pas qu’un simple caprice : les titres sont plus « légers » que ceux d’Interpol et sont une invitation à l’évasion, au voyage.
Et ce voyage n’est pas si loin : Julian Plenti sera présent à L’Alhambra (21 rue Yves Toudic, 75010 Paris – Métro République) le 13 décembre à 19h30.