Elle appelle son bébé par un nom Disney célèbre : les critiques fusent

Elle appelle son bébé par un nom Disney célèbre : les critiques fusent

Choisir un prénom pour son enfant, c’est un peu comme écrire le premier chapitre d’un conte de fées. Sauf que parfois, le conte prend une tournure inattendue. C’est exactement ce qu’a vécu Indy Clinton, une jeune maman australienne, en décidant d’appeler sa fille “Bambi”. Une décision qui, au lieu de susciter des sourires attendris, a fait éclater une tempête sur les réseaux sociaux.

Un prénom tendre… mais pas si inédit

À 25 ans, Indy Clinton pensait avoir trouvé le prénom parfait : doux, évocateur, teinté de nostalgie Disney. Inspirée par le célèbre faon aux yeux tendres, elle voulait offrir à sa fille un nom unique, plein de charme et de poésie. Un choix murement réfléchi, pris pendant sa grossesse.

Mais voilà, quelques jours avant l’annonce officielle, une autre influenceuse très suivie en Australie, Molly-Mae Hague, dévoile elle aussi avoir baptisé sa fille… Bambi. Coïncidence ou inspiration partagée ? Peu importe pour une partie du public, qui n’a pas tardé à accuser Indy d’avoir copié.

Les réseaux sociaux, tribunal de la parentalité

Ce qui autrefois aurait été une anecdote de famille est aujourd’hui un sujet de débat viral. En choisissant un prénom public, surtout en étant influenceuse sur TikTok, Indy Clinton ne s’attendait sans doute pas à devenir la cible de critiques acerbes. Certains internautes lui ont reproché un manque d’originalité, d’autres de vouloir “faire le buzz”.

Elle, de son côté, reste droite dans ses bottes. “J’étais convaincue que Bambi était un prénom rare et doux que personne n’utiliserait”, confie-t-elle, un brin déçue, mais loin de renier son choix. Son message est clair : on ne choisit pas un prénom pour plaire aux autres, mais parce qu’il nous touche.

La quête de l’unicité, un piège moderne ?

Aujourd’hui, vouloir sortir du lot semble devenu la norme. Fini les Marie, Emma ou Julien. Place aux prénoms inédits, créatifs, parfois déroutants. Mais cette course à l’originalité se heurte à une réalité bien actuelle : tout le monde a les mêmes outils, les mêmes références, les mêmes inspirations en ligne. Et donc, oui, il peut arriver qu’un prénom “unique” soit en fait… plus courant que prévu.

Indy ne s’en cache pas : elle aime les prénoms singuliers, ceux qu’on ne croise pas à chaque coin de rue. Et même si certains y voient une lubie de mère influenceuse, elle, y voit surtout un hommage tendre à un univers qui l’a marquée, et dans lequel elle reconnaît déjà un peu sa fille : longues jambes, regard curieux, présence délicate.

Élever Bambi à sa manière

Au-delà du prénom, c’est aussi le style parental d’Indy qui intrigue et divise. Sur ses réseaux, elle partage une vision de l’éducation empreinte de respect et de bienveillance. Pas de punitions, pas d’obligation à “faire la bise” si l’enfant ne le souhaite pas, et surtout : laisser l’enfant grandir à son rythme.

Une philosophie qui séduit certains, en agace d’autres, mais qui s’inscrit dans une tendance de fond : repenser l’autorité, replacer l’écoute au centre. Pour Indy, cela va de soi. Et peu importe les critiques, elle élèvera sa Bambi avec amour, douceur… et une bonne dose de confiance en ses choix.

Bambi

Au final, cette histoire n’est pas tant celle d’un prénom que celle d’un monde hyperconnecté où chaque geste parental devient sujet à débat. Derrière la polémique, il y a surtout une mère, un bébé, et un amour inconditionnel. Et ça, franchement, ça ne se juge pas.

Véritable passionné de musique, Romain est un chroniqueur aguerri sur toute l'actualité musicale. Avec une oreille affûtée pour les tendances émergentes et un amour pour les mélodies captivantes, il explore l'univers des sons pour partager ses découvertes et ses analyses.

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